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Accueillez votre nettoyeur haute pression professionnel REGELAV dans votre quotidien avec soin et amour ! Voici un guide détaillé pour un entretien optimal qui allie humour et expertise, parfait pour booster votre SEO et votre savoir-faire.

1. La Douceur d'après-combat : Nettoyage post-utilisation

Après une journée à combattre crasse et saleté, votre nettoyeur mérite une attention toute particulière. Débarrassez-le de toute impureté en rinçant le filtre, la pompe et les buses. C'est comme offrir une séance de spa à votre équipement après son dur labeur.

2. L'Œil de l'expert : Inspection régulière

Chaque composant de votre nettoyeur haute pression a son importance :

  • Tuyaux et raccords : Inspectez-les pour détecter toute usure ou fuite. Pensez à les remplacer au moindre signe de faiblesse pour éviter les surprises désagréables.
  • Joints et buses : Vérifiez leur intégrité. Des joints abîmés ou des buses encrassées peuvent diminuer l'efficacité de votre appareil.
  • Filtres : Nettoyez-les régulièrement pour prévenir les obstructions et maintenir un débit d'eau optimal.

3. Le Régime des champions : Huiles et carburants de qualité

Votre nettoyeur haute pression a besoin du meilleur carburant et des huiles les plus raffinées pour fonctionner à plein régime. Utilisez toujours les produits recommandés par REGELAV pour garantir une longue vie et une performance irréprochable.

4. Un Repos bien mérité : Rangement et hivernage

Après l'effort, le confort. Stockez votre nettoyeur dans un lieu sec et propre. En cas de non-utilisation prolongée, notamment en hiver, veillez à le protéger du gel et à le conserver dans un espace à l'abri de l'humidité.

Vidanger votre nettoyeur haute pression

Si votre nettoyeur haute pression est remisé dans une annexe non chaufféeou un abri de jardin, les températures négatives hivernales risquent d’endommager la motorisation avec la présence d’eau dans les buses et autres pièces en plastique de la pompe. L’eau gelée augmentant de volume, les buses, les raccords plastique etc. se fendent et créent des fuites entrainant le dysfonctionnement de l’appareil ou la perte d’étanchéité – pistolet etc. Pour cette raison, vous devez évacuer l'eau stockée - flexible, buse, pistolet etc.

5 conseils pour limiter l’apparition de fuites et pannes sur votre nettoyeur haute pression

  1. Appuyez sur la gâchette du pistolet et faites tourner votre nettoyeur haute pression quelques secondes sans l’alimenter d’eau pour évacuer le maximum d’eau restante dans la motorisation et les tuyaux.
  2. Démontez la buse de la tête de pompe et videz l’eau restante avant de la remonter – là où vous branchez le tuyau d’arrosage, accessible par le dessous de l’appareil ou en démontant l’habillage du nettoyeur HP.
  3. Videz méticuleusement l’eau contenue dans les flexibles, le pistolet, les lances, buses etc.
  4. Au besoin et en fonction du lieu de remisage, protégez votre nettoyeur haute pression du froid et des températures négatives via son carton d’emballage en le remplissant d’un matériau isolant quelconque – vieille couverture, laine de roche, laine de verre etc. 
  5. Les nettoyeurs haute pression thermiques se verront en sus recevoir unentretien moteur : bougie, huile, filtre à air etc.

5. Fitness mécanique : Entretien des pompes et moteurs

Faites tourner régulièrement les pompes et les moteurs, même lorsque vous n'utilisez pas l'appareil. Cela aide à prévenir les blocages et à maintenir les composants en bon état de fonctionnement.

6. Des vacances bien méritées : Check-Up annuel

Confiez votre nettoyeur à un professionnel pour un entretien annuel. Ce check-up chez un revendeur ou un service après-vente REGELAV est essentiel pour s'assurer que tout fonctionne parfaitement et pour anticiper d'éventuelles réparations.

7. À l'Écoute de son cœur : Surveillance du système hydraulique

Le système hydraulique est l'âme de votre nettoyeur. Gardez un œil attentif sur la pression, vérifiez régulièrement les niveaux d'huile hydraulique et soyez vigilant quant à la moindre anomalie dans le fonctionnement du système.

8. Et pour ceux qui veulent plus loin

  • Une installation électrique fiable

La qualité de l’alimentation électrique influe sur la durée de vie du moteur. En cas d’utilisation d’un enrouleur, celui-ci doit être de bonne section et en bon état. Il doit aussi être déroulé dans son intégralité, afin que le câble ne monte pas en température au risque de fondre et de créer un court-circuit susceptible de griller les composants électroniques, voire le moteur électrique.

 

  • Alimenter avec de l’eau propre

La longévité d’un laveur à haute pression passe par une bonne alimentation en eau. Un filtre encrassé se traduit par une perte soudaine de pression. Son bon état et son contrôle régulier sont incontournables. Si le débit d’eau est insuffisant, la pompe cavite en aspirant de l’air et se dégrade prématurément. Les coups de béliers dégradent les clapets d’aspiration et de refoulement. Ils endommagent aussi les joints des pistons.

 

  • Garder les clapets bien étanches

Les clapets d’un nettoyeur sont comparables aux soupapes d’un moteur thermique. Ils contrôlent l’admission de l’eau et son refoulement sous haute pression. S’ils ne sont pas parfaitement étanches, la pompe perd en performance. Leur remplacement est préconisé toutes les 250 à 500 heures, selon les modèles, ou une fois par an. Leur usure normale se traduit par une perte progressive de pression au fil des mois, car leur ressort fatigue et leur coupelle n’est plus parfaitement étanche sur son siège. Ces clapets sont sensibles aux impuretés et aux montées en température. Leur corps en plastique se déforme au-delà de 55 °C. Sur les appareils dépourvus d’arrêt automatique, il est alors important de ne pas laisser le moteur du laveur fonctionner plus deux minutes sans actionner la lance, afin d’éviter la surchauffe. Si, après remplacement des clapets, le laveur ne monte toujours pas en pression, le problème peut provenir d’un piston cassé ou de l’usure de ses garnitures. Le remplacement de ces composants relève des compétences d’un réparateur spécialisé.

 

  • Vidanger au moins une fois par an     

                                                                                                                                                                                                                                                           La pompe à haute pression des nettoyeurs professionnels possède, comme un moteur thermique, un vilebrequin et des bielles. Il existe également des modèles à pistons axiaux actionnés par un plateau incliné, un principe similaire à celui d’une pompe hydraulique. Ces ensembles mobiles sont lubrifiés et refroidis par bain d’huile. Une première vidange après 20 à 30 heures d’utilisation s’impose. Elle permet d’évacuer les impuretés issues du rodage. Cette opération est peu coûteuse, car l’huile utilisée est généralement de la 15W40, une viscosité courante dans les exploitations agricoles. La vidange du carter de pompe est ensuite à réaliser périodiquement, toutes les 100 à 200 heures ou au moins une fois par an, selon les préconisations des constructeurs. Si l’huile retirée présente une couleur de mayonnaise, les joints spi assurant l’étanchéité à l’embase des pistons sont certainement endommagés. Dans ce cas, il est obligatoire de les remplacer sous peine de détruire la pompe. Cette intervention est à déléguer à un technicien spécialisé.

  • Prévenir du gel


La culasse de la pompe est sensible au gel. Afin de prévenir toute casse, il est important de purger le nettoyeur haute pression après utilisation. Pour cela, il faut retirer l’arrivée d’eau et le tuyau haute pression, puis faire fonctionner le nettoyeur durant 3 à 4 secondes pour le purger. Cette opération ne suffit pas en cas de fortes gelées, car il reste toujours un peu d’eau dans la culasse. Celle-ci peut fendre sous l’effet de températures négatives. Il est alors indispensable de ranger l’appareil dans un local tempéré.

 

  • L’importance de la buse


La buse présente en bout de lance est une pièce d’usure. Son calibre est déterminé en fonction du débit d’eau et de la pression maximale de travail du nettoyeur. Il est donc important d’utiliser le modèle adapté et de ne pas intervertir les lances de deux appareils aux performances différentes. Si l’orifice est trop gros, le laveur ne monte pas en pression. À l’inverse, une buse sous calibrée ne permet pas de passer tout le débit d’eau. Dans ce cas, la pompe monte trop en pression et s’échauffe anormalement, conduisant à la dégradation des clapets et des joints. La buse est particulièrement sensible au bouchage et ne doit pas être laissée à même le sol au risque de la charger de terre. Il faut aussi être vigilant avec le flexible haute pression et ne pas y laisser pénétrer de corps étrangers susceptibles d’obstruer le pistolet ou la buse, des causes fréquentes de panne.

 

  • Ne pas agir sur le by-pass


Le by-pass paramétré d’usine contrôle la pression d’utilisation. Ce clapet recycle une quantité précise d’eau vers la pompe lorsque la lance est fermée sur les appareils non équipés d’arrêt automatique. Son réglage ne doit en aucun cas être modifié, au risque de conséquences graves sur le nettoyeur. En effet, si le by-pass freine trop le passage de l’eau, la pression monte excessivement dans la pompe, qui s’échauffe et voit ses joints se dégrader. Pire, il arrive que les bouchons des clapets cèdent et partent comme une balle, au risque de blesser gravement l’opérateur. Par ailleurs, avec un by-pass correctement réglé, il est important de ne pas laisser le laveur fonctionner plus de deux minutes sans actionner la lance. L’eau recirculant monte en température et peut atteindre 60 °C. En relançant ensuite le lavage, l’eau froide pénétrant dans la culasse crée un choc thermique entraînant parfois sa casse ou celle des pistons souvent réalisés en céramique. Il est donc important d’opter pour un appareil pourvu d’un dispositif de marche et arrêt automatique.

 

Éviter l’encrassement des nettoyeurs eau chaude

Les laveurs à eau chaude intègrent une petite chaudière fonctionnant au fuel domestique (éviter le GNR). Ils disposent généralement d’une crépine et d’un filtre à contrôler périodiquement. En fin de travail, il est important de stopper la production d’eau chaude en positionnant le thermostat sur zéro quelques instants avant l’arrêt du nettoyeur. Cette manipulation assure un refroidissement progressif à l’eau froide et prolonge la durée de vie du serpentin. Le laveur à eau chaude doit, par ailleurs, être installé dans un local assurant l’évacuation des gaz brûlés, afin d’éviter leur recyclage provoquant une mauvaise combustion. Sa purge est incontournable en période de gel pour éviter d’éclater le serpentin.